Jacques nous propose aujourd'hui une belle rando de 12 km mi-urbaine, mi-champêtre à la frontière entre Seine-et-Marne et Val-de-Marne.
Santeny.
Nous descendons vers le réveillon et sortons de Santeny par le Chemin de la Marnière qui conduit à travers champs jusqu'à la RN19, que nous traversons pour rejoindre le bois d'Auteuil par le Chemin de Villecresnes.
Sur les terrains de la commune de Villecresnes qui étaient historiquement dévolus aux activités du groupe La Poste, a été bâti le nouveau quartier du Bois d’Auteuil qui bénéficie de nombreuses structures dédiées au sport comme un centre aquatique et un club gymnique qui offre même un fronton de pelote basque.
Nous descendons sur la berge de Réveillon que nous longeons jusqu'à l'étang de Villecresnes. La commune a créé cet étang en 1995, afin de réguler les eaux du Réveillon. Un dispositif d’oxygénation y est installé. Nous quittons les rives du Réveillon et remontons vers le chemin vert pour nous diriger vers Mandres-les-Roses.
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| Photo D.Armanini |
Nous descendons sur la berge de Réveillon que nous longeons jusqu'à l'étang de Villecresnes. La commune a créé cet étang en 1995, afin de réguler les eaux du Réveillon. Un dispositif d’oxygénation y est installé. Nous quittons les rives du Réveillon et remontons vers le chemin vert pour nous diriger vers Mandres-les-Roses.
Les roses de "Mandres-en-Brie".
Mandres comptait encore 24 rosiéristes en 1962. C'est d'ailleurs en 1957 que la ville a modifié son nom "Mandres-en-Brie" pour devenir "Mandres-les-Roses". C'est un secteur maraîcher très important que nous traversons par la la Rue du 8 Mai 45 dans le domaine de Roseval puis par le chemin de Périgny entre le domaine de Rosebrie et le domaine de Saint-Leu. Ce secteur couvert de serres très modernes, consacrées à la production de légumes, fut autrefois le territoire des rosiéristes. Mais aujourd'hui, la rose classique est essentiellement importée d'Afrique, d'Équateur, des Pays-Bas, et même d'Italie. Le dernier des rosiéristes de Mandres, Philippe Venet, a choisi, pour résister, un marché de niche : celui de la "rose parfumée ", un produit fragile, très haut de gamme, qui souffre moins de la concurrence.
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| Le Train des Roses |
Mandres comptait encore 24 rosiéristes en 1962. C'est d'ailleurs en 1957 que la ville a modifié son nom "Mandres-en-Brie" pour devenir "Mandres-les-Roses". C'est un secteur maraîcher très important que nous traversons par la la Rue du 8 Mai 45 dans le domaine de Roseval puis par le chemin de Périgny entre le domaine de Rosebrie et le domaine de Saint-Leu. Ce secteur couvert de serres très modernes, consacrées à la production de légumes, fut autrefois le territoire des rosiéristes. Mais aujourd'hui, la rose classique est essentiellement importée d'Afrique, d'Équateur, des Pays-Bas, et même d'Italie. Le dernier des rosiéristes de Mandres, Philippe Venet, a choisi, pour résister, un marché de niche : celui de la "rose parfumée ", un produit fragile, très haut de gamme, qui souffre moins de la concurrence.
Servon.
Nous traversons la zone d'activité de l'Orme Rond à Servon. Servon possède une zone d'activité commerciale très importante qui compte de grandes entreprises comme Saint Gobain Weber France (Weber et Broutin). La création du nouveau centre commercial "Eden" avec ses 35000 m² renforce encore les ressources de la commune.
Nous traversons un agréable secteur pavillonnaire de Servon pour rejoindre le cours du Réveillon à Santeny.
Nous traversons la zone d'activité de l'Orme Rond à Servon. Servon possède une zone d'activité commerciale très importante qui compte de grandes entreprises comme Saint Gobain Weber France (Weber et Broutin). La création du nouveau centre commercial "Eden" avec ses 35000 m² renforce encore les ressources de la commune.
Nous traversons un agréable secteur pavillonnaire de Servon pour rejoindre le cours du Réveillon à Santeny.
Le Pont et le Colombier.
Il ne nous reste plus qu'à rejoindre nos véhicules sur le parking près de l'église pour clore, avec Jacques et Marie, cette boucle de 12 km.
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| Photo D.Armanini |
Avec ses trois arches irrégulières, enjambant le Réveillon, ce pont pittoresque est l'un des rares de la région à avoir conservé intactes ses piles en forme de bec, dont l'intérêt était de diminuer la force de pression des éventuels obstacles dérivant sur la rivière. On peut apercevoir, à l'arrière plan, l'ancienne ferme des Lyons et son imposant colombier. Cette ferme a une histoire, elle faisait partie du fief de Cossigny devenu fief des Lyons au XVIIème siècle. Ce fief était composé d'un château et d'une ferme. En 1766, Louis Richard de Lyons vend le château mais se réserve la ferme. Ce n'est qu'après la Révolution que Barthélemy de Besse de la Plante achètera le domaine. Ses descendants ont remanié la ferme en 1820. Aujourd'hui, seule la ferme subsiste, le château ayant été détruit.
Il ne nous reste plus qu'à rejoindre nos véhicules sur le parking près de l'église pour clore, avec Jacques et Marie, cette boucle de 12 km.
Carte de notre circuit :
Le plan imprimable et le fichier GPX de ce circuit sont accessibles dans l'onglet "GPX&PDF".
(Mot de passe nécessaire)
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