Le magnifique domaine de Chamarande.
Quelques dates-clé de l'histoire du domaine :*
1603/1654 François Miron fait réaliser une demeure constituant l’actuel corps central du château, Ses enfants agrandissent le domaine.
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1654/1668 Les travaux reprennent sous la conduite de l’architecte Nicolas De Lespine : achèvement des pavillons, remplacement du pont-levis, pavage des abords du château et plantation de 300 ormes dans l’allée d’honneur.
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1685 Jusqu’à la fin du XVIIe siècle, le lieu est désigné comme terre de Bonnes. C’est en 1685 que Clair Gilbert d’Ornaison obtient par lettres patentes que la terre de Bonnes soit érigée en comté de Chamarande.
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1739/1763 L’architecte Pierre Contant d’Ivry redessine le jardin, réaménage l’entrée de la cour d’honneur. Dans le parc, sont créés parterres, allées, canaux et bosquets. Aujourd’hui, le site conserve cette ordonnance : l’auditoire, l’orangerie, le pavillon du belvédère, le buffet d’eau, le potager et le jeu de l’oie.
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1857/1872 Jean-Gilbert Victor Fialin s’attache à doter le château d’une galerie d’apparat, et clôture le Domaine d’un mur d’enceinte en pierre. Le paysagiste Paul de Lavenne accentue le caractère d’un jardin à l’anglaise, notamment par la plantation d’essences exotiques.
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1922/1948 Les Scouts de France installent sur le Domaine le centre de formation du mouvement. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le Domaine est occupé par l’armée allemande puis l’armée américaine. Les scouts réinvestissent les lieux après guerre, mais la mise en vente du Domaine en 1948 met fin à leur présence sur le site.
1959/1972 Entre 1959 et 1961 est construit le centre médico-social. L’édifice abrite des salles de soins, agréées et conventionnées par la Sécurité Sociale, ouvertes en priorité au personnel mais aussi aux habitants du village. Des équipements sportifs sont également réalisés : un gymnas, un sauna, piscine extérieure chauffée, terrains de tennis, de volley-ball et de basket-ball. Aujourd’hui, le Centre Mione est un lieu d’accueil et d’hébergement pour les groupes venant en séjour sur le Domaine.
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1978 Le Domaine devient propriété du Conseil général de l’Essonne par adjudication. Le site est classé en 1977, et le château en 1981.
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1999 les Archives départementales emménagent dans les anciens communs du château et sous la cour où un silo de plus de 20 mètres de profondeur, sur 8 niveaux, est construit pour accueillir les magasins de stockage. Le document le plus ancien remonte au début du XIIe siècle.
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2001 Le Conseil général décide de faire du Domaine départemental de Chamarande un équipement culturel phare de l’Essonne, chargé de renouer avec la création artistique contemporaine à partir de son cadre naturel et accessible à tous.
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2004 La Porte des Écritures 1796/1999, porte en verre sablé extra blanc créée par l’artiste Anne Deguelle en 2004, symbolise ce franchissement des siècles pour faire réapparaître l’objet d’histoire et de mémoire.
La Juine.
La Juine prend sa source près d'Autruy-sur-Juine dans le Loiret. Elle traverse 16 communes - dont Méréville, Ormoy-la-Rivière et Étampes - avant de se jeter dans l’Essonne à Vert-Le-Petit, à l'issue d'un parcours de 52,4 kilomètres.
Parc de l'hôtel de ville de Lardy.
Il est revendu comme « château ruiné » à la veille de la Révolution. Il est alors transformé en habitation bourgeoise par ses propriétaires successifs. Il accueille l'hôtel de ville depuis 1976.
- Des arbres remarquables plusieurs fois centenaires ornent le grand parc à l'anglaise de six hectares, qui borde la Juine : un chêne pédonculé , un magnolia grandiflora , un cèdre de l'Atlas
Le pont de Goujon.
Le château de Gillevoisin.
Des jeunes, en situation de handicap, agés de 14 à 20 ans y reçoivent un enseignement professionnel (entretien d'espaces verts, restauration...).
La chapelle aurait été construite entre 1622 et 1626. Elle abrite aujourd'hui les fresques bibliques du peintre russe Alexei Begov, réalisées pendant son séjour à Janville de 1998 à 2004.
Notre itinéraire dans le domaine de Chamarande :
