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Cest ici que Pascale a brillamment exposé à notre groupe l'histoire du 11 novembre 1918 qui symbolise la liberté retrouvée dans le monde après 4 ans d’un conflit qui laisse l’Europe exsangue. A 6 heures du matin, la fin de la première guerre mondiale est signée.
Le maréchal Foch, généralissime des armées alliées et le général Weygand reçoivent la capitulation de la délégation allemande envoyée par la toute nouvelle république de Weimar.
En 1922, le wagon n° 2419.D où fut signé le document devint un lieu de commémoration. (Pascale qui est une fille du Nord prononce 'ouagon' pour 'wagon'...) Ce ouagon, donc, d’abord exposé aux Invalides, fut ensuite transporté dans la Clairière en 1927. où un musée y fut construit. Le site sera jusqu’en juin 1940, le symbole de la victoire et sera le théâtre de nombreuses cérémonies nationales.
Le maréchal Foch, généralissime des armées alliées et le général Weygand reçoivent la capitulation de la délégation allemande envoyée par la toute nouvelle république de Weimar.
En 1922, le wagon n° 2419.D où fut signé le document devint un lieu de commémoration. (Pascale qui est une fille du Nord prononce 'ouagon' pour 'wagon'...) Ce ouagon, donc, d’abord exposé aux Invalides, fut ensuite transporté dans la Clairière en 1927. où un musée y fut construit. Le site sera jusqu’en juin 1940, le symbole de la victoire et sera le théâtre de nombreuses cérémonies nationales.
Hitler vint signer, en ce même lieu, l'Armistice (moins célèbre car moins glorieux) du 22 juin 1940.
Sur son ordre, la Clairière fut détruite et le wagon historique n° 2419.D fut emporté et brûlé à Berlin, à la fin de la seconde guerre.
Le Musée de l’Armistice est reconstitué en 1950 dans la clairière de Rethondes. Le wagon original est remplacé par une voiture similaire implantée dans le musée lui-même.
Le Musée de l’Armistice est reconstitué en 1950 dans la clairière de Rethondes. Le wagon original est remplacé par une voiture similaire implantée dans le musée lui-même.
L'Aisne mesure 355 km. Elle est un affluent de l'Oise et est donc un sous-affluent de la Seine.
Aisne et Oise, toutes deux navigables, constituent un atout majeur pour Compiègne. Cependant, la lutte contre les risques de crue nécessite des moyens assez considérables.
Des cygnes et leurs cygneaux nagent sur l'Aisne.
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Le siège de Compiègne et la capture de Jeanne d'Arc.
Philippe Le Bon, allié des anglais, et son lieutenant Jean de Luxembourg se lancent à la reconquête de Compiègne, un verrou sur l'Oise, au nord de Paris, qui les empêche de lier leurs possessions à celles des Anglais. Les habitants appellent Jeanne à l'aide. Celle-ci lève avec ses propres deniers une troupe de 400 mercenaires et se précipite à leur secours sans en référer au roi. Elle entre dans la ville à la faveur de la nuit. Mais le lendemain, le 23 mai 1430, en tentant une sortie quelque peu imprudente, elle est encerclée par les Bourguignons et capturée par un archer picard qui la livre à son seigneur Jean de Luxembourg.
Le roi Charles VII, qui doit son sacre à la pucelle d'Orléans, ne montrera cependant aucune gratitude et n'esquissera aucun geste en sa faveur. Son grand chambellan Georges de la Trémoille, retors et corrompu, hostile à la Pucelle, le dissuade de la racheter.
L'Anglais finalement rachète Jeanne à Jean de Luxembourg pour dix mille livres, soit un montant équivalent à une rançon royale ! La prisonnière est conduite à Arras, puis au Crotoy, à Dieppe et enfin à Rouen où elle devait être jugée. Son procès pourra commencer puis connaître l'issue cuisante que nous savons...
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