J
e n'étais pas présent à cette rando. (les vacances en Août, c'est sacré.)
Je me suis donc reporté aux photos de Didier publiées sur le Blog BDV pour trouver l'inspiration de cet article (avec le concours des meilleurs moteurs de recherche et du Parisien Libéré).
Un dromadaire à Saint-Ouen-en-Brie..
Photo D.Armanini |
J
e dois bien avouer que la présence de cette photo de Didier sur le Blog B.V.D., tout à fait insolite, a stimulé ma curiosité et, en même temps, m'a sorti du mauvais pas où je me trouvais, les meilleurs moteurs de recherche ne s'avérant d'aucun secours pour m'aider à commenter cette rando estivale.
Je ne trouvais, en effet, que très peu d'éléments substantiels sur cette charmante commune briarde de Saint-Ouen, sur son église du XIIIème siècle ou sur le nom étrange de ses habitants (les Audoniennes et les Audoniens ). Donc, ce sympathique animal allait sans doute me sauver la mise car ayant peu à dire sur l'espace de la rando, j'aurais probablement davantage à exposer sur notre camélidé et la famille des artiodactyles tylopodes en général...
Un article paru dans le Parisien est alors venu me délivrer totalement de cette angoisse de la panne d'inspiration. "L'angoisse de la feuille blanche, c'est d'abord la crainte de la salir par une inspiration trop banale." expliquait Mallarmé.........
La véto des Bêtes sauvages (article paru dans le Parisien Libéré)
F
lorence Ollivet-Courtois est l'unique vétérinaire libérale en France spécialisée dans la faune sauvage, cette habitante de Janvry (Essonne) vient de publier «Un éléphant dans ma salle d'attente».
L'article précise que "Ce soir-là, à Saint-Ouen-en-Brie (Seine-et-Marne), ses deux «patients» s'appellent Négus et Dubaï. Signe particulier : il s'agit de dromadaires. "
Hourra, je le tiens mon article ! J'ai réussi à identifier (presque) l'animal sur la photo de Didier ; il s'agit donc soit de Négus soit de Dubaï.
Et le journal de poursuivre : "Mercredi soir, Florence a donc passé deux heures au chevet de dromadaires, chez des particuliers à Saint-Ouen-en-Brie. Avec Négus, qui souffre d'un souffle au cœur et qui ne se nourrit plus depuis plusieurs jours, aucun problème pour poser la perfusion et procéder aux piqûres. Mais avec Dubaï, l'affaire se corse. Malgré les deux propriétaires qui le tiennent, Florence Ollivet-Courtois peine. Dubaï éjecte ses trois "assaillants" contre le mur de son box. -« Comme les dernières analyses sont bonnes et qu'il mange bien, on ne va pas insister.», décide la vétérinaire. «On ne va quand même pas risquer de mourir écrasés pour une prise de sang !»
Florence a pourtant l'habitude. Dans son livre, elle raconte comment elle a mis au point des méthodes pour aider les girafes à se relever après une anesthésie sans se rompre le cou ou encore comment elle a convaincu un chimpanzé diabétique de prendre son insuline! ".
J'aurai une petite tendance à éliminer Négus qui ne se nourrit plus pour lui préférer Dubaï qui me paraît en pleine forme. J'opte donc pour Dubaï sur la photo de Didier.
Le Bois de Bombon (article paru dans le Parisien Libéré)
C'
est encore au Parisien Libéré que je dois les infos qui m'ont permis d'illustrer cette balade dans les sentiers ombragés du bois de Bombon.
Le Parisien Libéré publiait :
"Traqué par les gendarmes dans la forêt de Bombon (Seine-et-Marne), Jean-Pierre Treiber, toujours en cavale depuis son évasion le 8 septembre 2009 de la maison d'arrêt d'Auxerre (Yonne), y avait donné rendez-vous à son amie. Il y avait même gravé un coeur sur un arbre en signe de reconnaissance.«Les policiers ont localisé l'arbre, dans le Bois de Bombon y découvrant, en effet, un coeur gravé, et ont mis en place une surveillance», a expliqué François Pérain, le procureur d'Auxerre. "Vers 22H00, quelqu'un s'est présenté dans l'obscurité complète, et a pris la fuite dès qu'il a entendu du bruit. Son visage n'a pas été vu par les policiers», a insisté le procureur, précisant qu'il ne pouvait «pas être certain» qu'il s'agissait de Jean-Pierre Treiber."
La fuite de JP Treiber prend fin le 20 novembre 2009 par son arrestation, par le RAID dans l'appartement d'un complice à Melun.
Détenu en quartier d'isolement dans sa cellule de la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis, il est retrouvé pendu le 20 février 2010 à 7 h 15.